L’Amour de la Nature et le souci de la préserver, d’y vivre de manière harmonieuse sont des valeurs de plus en plus présentes au cœur de chacun(e) de nous.

Dans plusieurs traditions spirituelles, la terre-mère est considérée comme un des aspects du divin et considérée comme sacré et les animaux sont respectés comme les petits frères des humains.

La Nature est donc source d’admiration, de vénération mais aussi d’enseignement. Elle enseigne l’humilité, les rythmes, l’adaptation, et aussi le changement perpétuel.

Le respect de la Nature peut se manifester par plusieurs gestes au quotidien : tri des déchets, lutte contre la pollution, limitation du gaspillage, économie de l’eau potable, jardinage, etc.

Chacun à son niveau peut faire des efforts afin de préserver la Nature, source de sa vie et au cœur de sa spiritualité dans le plan physique.

De plus en plus de personnes prenant conscience de la sensibilité animale et des souffrances qui leurs sont infligées pour satisfaire de simples plaisirs humains, se tournent également vers un mode de consommation alimentaire plus éthique, c’est-à-dire vers une alimentation végétalienne et même un mode de vie végane excluant ainsi autant que faire se peut, tous produits animaux de leur consommation quotidienne. 

Ils tiennent compte du fait que la vie est Une, toujours sacrée, et que les animaux sont effectivement des êtres sensibles, avec un corps de souffrances comme celui des humains.

Ils reconnaissent dans chaque être vivant, ce même principe spirituel, à des degrés divers d’évolution. Les animaux ont une âme, parfois décrite comme une âme de groupe, les plantes et même les éléments de la Nature sont « animés ». 

En prenant conscience des conditions de vie et d’exploitation des animaux dans notre monde, nous ne pouvons qu’être profondément choqués par ce système. Il en va de même pour les êtres humains qui vivent dans des conditions de pauvreté misérable et qui souffrent de malnutrition et de manques de soins.

Le végétalisme est un acte écologique humanitaire, car plus de 1,28 milliards de bovins occupent 25% des sols de la planète, ce qui provoque la déforestation notamment au Brésil, connu pour être le 1er pôle de production intensive d’animaux de consommation. 

Pour gagner 50 kg de protéines, un boeuf doit consommer 790 kg de protéines végétales, autant de nourriture qui pourrait à terme contribuer à limiter la famine dans le monde. S’il y avait une diminution de la consommation de protéines animales à 10% de ce qu’elle est présentement sur notre planète, la surface agricole libérée par le bétail permettrait de nourrir 1 milliard d’êtres humains.

Vous réalisez l’impact: 1 milliard de gens pourrait recevoir une nourriture adéquate tous les jours.

Les animaux de ferme intensive produisent chaque année 654 000 tonnes de méthane, un des gaz à effet de serre responsable du réchauffement de la planète : 93% de cette quantité provient des bovins. 

Outre l’immense impact écologique du végétalisme, le boycott de la souffrance animale est généralement le facteur déclenchant d’une prise de conscience alimentaire. Les producteurs de viande, d’oeufs et de produits laitiers ont été amenés, par la très forte compétitivité dans l’agroalimentaire, à considérer les animaux comme des objets et des marchandises. 

Une solution existe pour cesser d’encourager ce massacre : le végétalisme et le véganisme ! La bonne nouvelle c’est qu’aujourd’hui, c’est de plus en plus facile de faire cette transition, puisque de plus en plus de gens l’ont fait, l’industrie a suivi.
Ainsi les produits sont de plus en plus diversifiés et agréables au goût.
Les restaurants offrent de plus en plus d’options végétaliennes. Etc.

Pour le coaching « Au Menu de la Vie  »:

Nous allons nous occuper du volet alimentaire puisque c’est le tout premier à revoir si l’on veut être cohérent avec ses choix.

Végétalienne depuis plus de 15 ans maintenant, je suis en mesure de vous soutenir par rapport à tous les volets qu’implique ce nouveau mode de vie pour toute personne qui le désire. Cela peut être un gros avantage pour partir du bon pied et réussir à maintenir les acquis.

*L’ autohypnose-autosuggestion positive peut s’avérer un excellent complément à cet effet

1. Les menus
2. Les sorties
3. L’écologie familiale
4. La santé 
5. Le poids
6. Les prises de conscience
7. Les interactions sociales
8. Les rechutes

Que consomment les végétaliens:

• Les végétaliens (ou végétariens stricts) ne consomment ni viande, ni produits et sous-produits animaux. Ils se nourrissent exclusivement de végétaux: légumes, fruits, graines, céréales, protéines végétales comme le tofu et le seitan (protéines de blé), etc.

Pour aller plus loin:

1. Je vous suggère d’écouter les documentaires  La face cachée de la viande et Earthlings (Terriens en Français) 
2. Le véganisme est un mode de vie basé sur le refus de cautionner toute exploitation animale (même s’il n’y a pas souffrances) et ne peut se limiter à un régime alimentaire.

   Les véganes sont des végétaliens qui vont encore plus loin dans leur démarche pour le respect des droits des animaux: ils ne consomment aucun produit issu de l’exploitation animale (miel, gélatine animale, huile de poisson) et n’utilisent aucun produit animal pour se vêtir (laine, soie, cuir, fourrure).

   Les véganes n’achètent pas de produits testés sur les animaux en laboratoire et dont la composition contient des sous-produits animaux (lanoline, soie, miel, propolis, etc.).

   Les véganes boycottent aussi les spectacles de cirque avec des animaux, les zoos et les corridas, qui portent atteinte aux droits des animaux et sont le théâtre de la souffrance et de l’asservissement des animaux. C’est la forme de végétarisme la plus aboutie.